Cyber-violence: «Dans la majorité des cas, c'est des applications de messagerie que ça part», avertit le CCPE

Selon une étude menée par le Centre canadien de protection de l’enfance, l'exploitation sexuelle de mineurs passerait surtout par des applications de messagerie comme Snapchat, Messenger ou WhatsApp. Entrevue avec René Morin, porte-parole du Centre canadien de protection de l’enfance (CCPE) Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio

2025-11-26T21:01:03.002Z
Publicité
Publicité