« J’ai fermé les yeux deux secondes... et j’ai perdu un enfant! » : Tommy Néron raconte ses étés comme moniteur
Mélia Goulet-Jacques
L’humoriste Tommy Néron a partagé un moment hautement divertissant (et franchement authentique) en nous parlant de son été comme moniteur de camp de jour. Une job marquante pour des milliers de jeunes à travers le Québec — et visiblement, une source inépuisable d’anecdotes.
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Un été de grands apprentissages
Tommy revient avec humour sur son propre parcours de moniteur — de l'entrevue jusqu’à son surnom de camp : Woody.

« J’ai les yeux fermés sur ma photo de moniteur... Niveau surveillance, c’est -1000. Mais à ma défense, c’était aussi l’été où j’ai commencé à boire, j’apprenais beaucoup de choses en même temps! »
Entre les enfants hyperactifs « qui ne prennent pas leur médication l’été », les randonnées où on goûte à des champignons suspects, et les parents qui demandent un planning complet de l’été alors qu’il ne sait même pas encore ce qu’il va dîner... Tommy enchaîne les anecdotes avec un sens du timing comique bien à lui.

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